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    Le Cube est une résidence de création, de production, de diffusion et de médiation, ouverte à toutes les pratiques artistiques et culturelles, adossée à des espaces de présentation et d’exposition.

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    La Maison de la Tour présente des artistes reconnus ou en devenir, diffuse des œuvres de création, crée des événements artistiques de qualité.

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    La Maison de la Tour présente des artistes reconnus ou en devenir, diffuse des œuvres de création, crée des événements artistiques de qualité.

Du vendredi 14 novembre 2025 au dimanche 25 janvier 2026

Vernissage vendredi 14 novembre à 18h00

du vendredi au lundi ( jeudi sur rendez-vous) de 14h00 à 18h00

Fermeture annuelle du lundi 22 décembre 2025 inclus au dimanche 4 janvier 2026 inclus

Alain Roth

"Estafilades en Nouvelle-Calédonie"

Permanence d’ Alain Roth à la Maison de la tour le samedi 15 novembre de 14h00 à 18h00

 

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Alain Roth, photographe, graphiste et reporter nous offre une terre de contrastes : rivages est, ouest, montagnes, populations mêlées, luxuriance et misère… Ces images fortes se conjuguent et se heurtent parfois pour nous donner à voir l’essence même d’un territoire.
D’abord Belep, petite île à quatre heures de bateau de Nouméa et ces estafilades que les jeunes gens infligent aux eucalyptus. Ces marques, sur les écorces étonnantes de ces arbres, forment un décor naturel digne des travaux d’Andy Goldsworthy, Nils Udo ou d’autres artistes.
Puis ces portraits de femmes, pris par Alain Roth le 20 octobre 2018 au meeting du FLNKS de Ponérihouen sur la côte est, en hommage à leur rôle majeur dans la vie locale, associative et même politique.
Avec ces estafilades et ces portraits, Alain Roth saisit toute la détermination d’un peuple qui revendique haut et fort son identité kanaque.

Du vendredi 26 septembre au dimanche 2 novembre 2025

Vernissage vendredi 26 septembre à 18h00

 

Charles Segard-Noirclère

"Disparaître"

 

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La peinture occidentale est faite de matières et de couleurs ajoutées. Charles Segard-Noirclère use d’un processus inverse par l’emploi de pigments exclusivement naturels. La disparition de l’humain pose l’absence comme une empreinte, une présence autre.

Disparaître, pour mieux apparaître ? ... Quelle forme prendrait notre absence à l’heure où notre présence sature les espaces naturels ?
En calligraphiant ses « esprits », l’artiste ne trace pas leur portrait, il met en évidence l’espace que marque leur passage à travers notre perception. La relation entre l’intime en nous et l’univers autour, se construit dans cette vacuité. La peinture alors devient « l’endroit du lien ». Les « esprits » de Charles Segard-Noirclère nous invitent à dialoguer avec ce qui disparaît. Ils nous renvoient à nos propres absences (deuil, abandon, solitude).
Des absences à vivre non comme une fin, mais comme un dialogue entre le dedans et le dehors, les forces et les mystères qui nous traversent et cet élan commun qui lie les êtres et les choses dans l’expérience de l’être.

Vernissage Vendredi 26 septembre à 18h00

Du vendredi 22 août au dimanche 21 septembre 2025

Vernissage vendredi 22 août à 18h00

 

Samedi 20 et dimanche 21 septembre : JOURNEES EUROPEENES DU PATRIMOINE

Ouverture exceptionnelle de la Maison de la tour de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 19h00

 

Fabrice Leroux

Il va falloir semer beaucoup

Exposition de sortie de résidence

 

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Fabrice Leroux n’est pas un inconnu à Valaurie, lui et Anna Eva, sa compagne nous ont déjà conquis en 2017 avec les jeux d’ombre et de lumière, les miroirs, le vidéo-mapping de l’exposition Light is more de A.I.L.O leur structure commune.

Cet été, Fabrice Leroux nous est revenu pour poser, dans l’isolement quasi monacal du Cube, la question qui l’habite aujourd’hui, « Que restera-t-il de nous ? »  

Refusant le regret, l’amertume, il sublime l’immobilisme, l’absence et le définitif, cherche l’élan et tente de reprendre, en exerçant son art, sa conversation avec Dominique et Jacques Philippot interrompue par leur disparition.

Ses médiums ? Toujours la vidéo mais surtout la terre, la terre de chez lui, humide et grasse, mêlée à la terre d’ici recueillie avec effort en pleine canicule. Cette terre, la nôtre, qui même desséchée, brûlée à cœur, morte en apparence, contient, en plus des traces fertilisantes du passé, toutes les germinations possibles aptes à construire l’avenir.

« Il va falloir semer beaucoup », beaucoup et à tous les vents pour une seule graine, une seule fleur,

pour maintenir la vie dans un univers qui tend à se réduire en cendres.

Du vendredi 20 juin au dimanche 10 août

Vernissage vendredi 20 juin à 18h00

 

Judith Chancrin

Abîmes

 

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Judith Chancrin vit et travaille dans un petit village en Nord Ardèche près d'Annonay.
Après avoir exposé à la Villa Balthazar à Valence, c'est à la Maison de la tour qu'elle présente un ensemble composé de différentes séries regroupant des techniques, supports et formats variés : acryliques sur toile, papiers découpés, collages, objets en carton, modules de bois découpés.
Ses expériences sensibles vous feront voyager entre évocation de formes indéterminées et apparition de figures abstraites inattendues.

« ABÎMES, c’est ce geste dont je ne saurais me défaire, qui insiste et me plonge à chaque fois un peu plus vers l’inconnu, et me guide aux confins d’une abstraction inattendue et plus profonde encore, comme pour m’abstraire d’une quelconque objectivation.
Cette insistance du geste non-identiquement répété mais porteur d’un mème qui transforme légèrement le sujet, agit comme une fausse répétition pour aller au-delà des choses et m’extraire de leur représentation. Que l’objet soit, sans avoir à dire ce qu’il n’est pas. Comme si ces superpositions me permettaient non pas d’ajouter mais d’échapper progressivement de la surface des choses, du cliché, du tout dit et tout donné. Pour aller saisir peut-être quelque chose de l’ordre d’une substance poétique essentielle, qui prendrait vie dans l’étrangeté rencontrée.
Cet espace de l’objet alors suspendu dans l’insaisissable, par ce même caractère, très ouvert, est une invitation à l’abandon mais aussi à la rencontre. » - Judith Chancrin, avril 2025.

 

 

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