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    Le Cube est une résidence de création, de production, de diffusion et de médiation, ouverte à toutes les pratiques artistiques et culturelles, adossée à des espaces de présentation et d’exposition.

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    La Maison de la Tour présente des artistes reconnus ou en devenir, diffuse des œuvres de création, crée des événements artistiques de qualité.

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    La Maison de la Tour présente des artistes reconnus ou en devenir, diffuse des œuvres de création, crée des événements artistiques de qualité.

les 17 et 18 octobre 2015 dans le cadre de l’événement DÉTOURS

Lynn Pook et Dardex

Les 17 et 18 octobre 2015, l’insolite d’un parcours en car à la découverte d’oeuvres sonores et numériques à chaque escale, le temps d’une rencontre avec des centres d’art de la drôme du sud.

Un circuit en car

Detours

Performances embarquées et visite guidée des expositions en cours des centres d’art du sud de la Drôme

Embarquez à bord d’un car transformé en scène artistique mobile et éphémère. Installez-vous confortablement dans votre siège pour une expérience sensible du territoire. Vous serez les spectateurs privilégiés de concerts et de performances insolites. Et à chaque escale, suivez le guide pour visiter une exposition, découvrir une performance sonore. Partagez des moments de convivialité dans des lieux d’art contemporain du sud de la Drôme, et redécouvrez votre environnement à travers le prisme artistique, sonore et sensible.
Ou circulez par vos propres moyens ! Rejoignez les escales, visitez les expositions, assistez aux performances sur place et venez partager les moments de convivialité !
Rejouez par vous-même le circuit après les 17 et 18 octobre 2015, avec les archives sonores du parcours : www.detournumerique.com

Pour rejoindre les escales, suivez le circuit sur la carte et consultez les horaires sur le site web. Télécharger la plaquette et les infos

Sylvie Deparis

du 4 au 27 septembre 2015 - Table ronde (et vernissage) dimanche 20 septembre 2015
à 10h

Vivre Traversées

sylvie deparis septembre 2105 01Sylvie Deparis a allié, au service d’une expérience sensible et esthétique del’espace, des préoccupations récurrentes de son travail : la transcription de la présence, la transparence, la lumière, le mouvement. En relation avec l’année internationale de la lumière, l’installation proposeune perception réunifiée du réel, dans sa dimension mouvante et fluide.

Une immersion

La démarche plastique de l’artiste est toujours inspirée de l’univers végétal. Elle est une pratique du regard et de l’attention, une immersion.
Dans une expérience optique et sensitive qui excède l’ordre du langage, l’artiste laisse advenir une incorporation qui initie la possibilité d’une
ouverture. La forme peut alors effracter sa dimension statique et descriptive pour se donner comme présence, permettant de dépasser l’apparent immédiat pour interroger la nature du visible et son mystère.

Des transparences

sylvie deparis septembre 2105 02Sylvie Deparis évoque une transparence de la forme qui s’ouvre et laisse apercevoir sa composante énergétique, la force génératrice qui l’a façonnée et la parcourt. Ainsi qu’une transparence du corps - de l’artiste, du spectateur – qui a capacité d’harmoniser son propre rythme avec celui d’un autre être, d’un lieu, ou d’autres phénomènes vibratoires, et se laisse traverser par ce réel irréductible qui échappe à la signification.
Transparence qui laisse passer à travers soi tout en colorant ce qui le traverse de sa propre vibration.

Voilement, dévoilement

L’artiste a recherché dans ses réalisations passées des matériaux qui permettent de traduire cette traversée. Elle a opté pour des matériaux non complètement transparents, afin de conserver la notion de voilement - dévoilement, mais suffisamment translucides pour ménager au regard cette profondeur. Matériaux souples (voilages en polyester ou soie,
intissé, calques), et, ici, verre de la Verrerie de Saint-Just.

L’impermanence d’un équilibre

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Né du feu, du souffle de l’homme et de la force de gravité, le verre de Saint-Just se pare d’une infinité de nuances, évoquant l’impermanence d’un équilibre aperçu et sans cesse disparu. Les flux qui l’ont formé sont inscrits dans les rythmes de ses motifs. Comme le sont également les flux du vivant dans les structures végétales qui témoignent des forces qui les ont modelées, et que les dessins de Sylvie Deparis cherchent à transcrire.
Ainsi, l’oeuvre est la conjonction de toutes ces composantes : installation alliant les verres de Saint-Just, les rythmes du végétal, le graphisme en mouvement, la transparence et la lumière, en trois ensembles qui se répondent par leur disposition dans l’espace.

Comprendre une synergie

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Pour l’artiste, “Traversées” ne pouvait se concevoir sans l’aide des entreprises qui ont très généreusement accepté de mettre leurs compétences au service d’un projet artistique qui n’existerait pas sans elles, et dont la richesse doit beaucoup à cette synergie.
Ainsi, l’entreprise Jean Gobba-Tecni Bombage à Pontcharra-sur-Turdine a effectué la découpe, le polissage des bords et le perçage des plaques de verre destinées à être sérigraphiées.
L’entreprise Thomas Vitraux à Valence a sérigraphié dix-huit dessins sur ces plaques.
L’entreprise Techn’Eau Jet à Feurs a découpé treize dalles de verre selon la forme des dessins de l’artiste grâce à une technologie de découpe au jet d’eau que possèdent peu d’entreprises en France.
Cette découpe demandait de transférer les dessins, initialement sur papier, en formats vectorisés, travail réalisé par l’entreprise VMS à Valaurie.
L’entreprise Luminéo à Malrieux a offert des feuilles luminescentes permettant d’éclairer par en-dessous les dalles de verre sur lesquelles elles
sont posées.

Une création en résidence

Cette oeuvre a été créée au Cube qui a fait sien l’objectif de favoriser le développement des dimensions territoriales des créations et des restitutions (territoire créatif). Cette priorité inscrite comme un objectif permanent explique les contacts établis avec les acteurs culturels et économiques du projet de Sylvie Deparis. Outre les industriels cités, mention particulière à l’Agence Altavia Saint-Etienne qui a accueilli l’oeuvre durant la Biennale Off du Design de Saint-Etienne et a assuré la communication sur cet événement en collaboration avec le Cube.

Table ronde dimanche 20 septembre 2015 à 10h

En présence de l'artiste, à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine qui ont pour thème "le Patrimoine du 21ème siècle, une histoire d'avenir"

La collection Le Cube

La collection Le Cube propose une nouvelle publication intitulée « Sylvie Deparis – traversées ». Un livre consacré au travail de création réalisé par l’artiste lors d’une résidence à Valaurie.

Du 4 au 27 septembre 2015 du mercredi au dimanche de 14h à 18h
Table ronde dimanche 20 septembre 2015 à 10h

Du 10 juillet au 23 août 2015, 4 artistes exposent :

Catherine Chabouis

Céramiste

Catherine Chabouis est une artiste, mais aussi une chimiste, une chimiste des argiles, elle est incollable sur la théorie de leurs liaisons colloïdales et les mystères de leur floculation. Puis elle est passée à la pratique, elle touche, modèle, cuit et c'est ainsi qu'elle est devenue céramiste.
Par ses recherches plastiques dans la lignée du Jomon japonais, par son travail personnel, par la répétition voulue des gestes de son fils disparu, Jérôme, lui aussi sculpteur, le travail de Catherine Chabouis étonne.
Qu'il s'agisse de ces formes patiemment polies en volutes lisses ou des surfaces sculptées que sa main a façonnées en creux et en volumes, évoquant les corps des anges baroques des chapelles savoyardes, les pièces présentées sont l'aboutissement d'un travail de dix années.
Dix années à canaliser l'énergie dans un geste parfait. Cinq années d'une vie de rencontres, d'amitiés et d'entraide pour cette taulignanaise revenue dans la lumière de son enfance.
Dix années de progrès, pleines, grâce à l'amitié de Mireille Favergeon, une grande céramiste, à qui Catherine doit beaucoup. Et enfin la satisfaction d'un accomplissement, au bout d'un long chemin qui est aussi la continuation d'un dialogue.

catherine chabouis 1catherine chabouis 2

Martine Chevant

Sculpteur

Martine Chevant vit et travaille à Paris. Elle a pratiqué le dessin et la peinture depuis l'adolescence et l'Université, puis parallèlement à une carrière professionnelle dans le graphisme.
A partir de 2002, elle a trouvé dans la sculpture du bois, et en taille directe, la forme d'expression captivante qu'elle recherchait.
«Frapper, geste du prédateur, geste qui se prolonge pour atteindre le but.
Frapper, faire jaillir l'éclat du bois et laisser une empreinte.
Je taille le bois pour laisser mon empreinte, la trace de mon passage.
Je taille le bois, tronc d'arbre abattu, pour le réveiller, le faire parler.
C'est une exploration. Chez moi en Auvergne, les bois sont sauvages, accidentés. J'avance la mousse sous les pieds, les écorces, les lichens à portée de main. Voici qu'apparait un tronc couché, un vieux qui a rendu l'âme. Si je reste immobile, à l'écoute, un craquement, un esprit dérangé, l'idée d'un fantôme survient.
De même en travaillant, il peut surgir l'étrangeté, l'imprévisible. Partant du figuratif, je prends la liberté d'interpréter la forme, de la métamorphoser et de me laisser surprendre.
Devant ce que je perçois de la réalité, un autre monde se profile et je rêve d'évasion.
Nostalgie du monde aquatique : être dans l'eau c'est être dans un espace sans frontière, avoir une grande liberté du mouvement, une sensation d'apesanteur.
J'ai cherché à évoquer des formes fluides, à travailler plutôt l'enveloppe que la structure.
Je propose dans ces sculptures des bêtes primitives, ayant l'intelligence de la forme pour évoluer, se propager et durer.
Sculpter la forme c'est approcher l'animal, en débusquer l'idée et en dépouiller la forme. Chasser. Comme le gibier qui a été poursuivi, traqué, mis à mort, et dépecé – ou, rampant hors de l'eau, échoué et exhumé, la forme nouvelle, l'animal reprend son souffle.»

Martine Chevant 1Martine Chevant 2Martine Chevant 3

Lucyna Kordos

Graveur et peintre

Née à Varsovie, l’artiste graveur et peintre vit et travaille à Paris.
Après les études d’arts plastiques à Heatherley School of Fine Art de Londres, elle se dédie à la gravure et se perfectionne dans la maîtrise de la taille-douce à l’Ecole d’Art Graphique « Il Bisonte » de Florence.
Ensuite fréquente les différents ateliers de gravure à Paris.
En poursuivant des études d’Arts Plastiques à L’Université Paris 8 où elle a obtenu une Licence d’arts plastiques. Elle participe régulièrement à différents salons et son travail figure dans des collections privées en France et à l’étranger.

Jamais peut-être plus qu’à notre époque, l’esprit scientifique n’a eu plus besoin d’être défendu.
La représentation et la pensée du monde passe aujourd’hui par l’image scientifique. Donc, la science est l’esthétique de l’intelligence qui pose l’abstraction comme la démarche normale.
Les images de cellules, de neurones, de molécules... , omniprésentes dans les revues scientifiques ou sur nos écrans d’ordinateurs, se révèlent souvent comme les abstractions pittoresques.
Dans ma série de pastels intitulée «Le Monde cellulaire », je pars de ces images pittoresques, mais bien évidemment, il s’agit d’inventer les cellules imaginaires. En effet, inspirée par les chants du compositeur allemand du XIX siècle Franz Schubert, j’ai voulu élaborer une forme abstraite de l’émotion qui conduit l’homme plus que la raison. Donc, sur mes toiles, je trace « les cellules» de la peur, de la solitude et autre. Ce monde invisible de notre force psychique, je le représente comme le chaos inexplicable de l’image à la forme géométrique, puis de la forme géométrique à la forme abstraite. Enfin, tout se rejoint par les traits déformés et les fils tortillés dans les profondeurs abyssales du noir.

Lucyna KORDOS 1Lucyna KORDOS 2

Cécile Windeck

Peintre

Cecile WINDECK 1

Née en 1963, Cécile Windeck vit et travaille comme encadreur à Vienne (38). Elle a fait l’Ecole d’Arts plastiques Polaris à Corbas pendant 4 ans.
De plus, Cécile Windeck a effectué des stages avec l’artiste Pierre Delvaux.

Mes peintures se forment par glacis successifs au rythme de mes séquences de travail.
Je laisse la trace des passages de couleurs, comme une mémoire de l'action picturale, pour former un paysage abstrait. La couleur est pour moi très importante avec une prédilection pour le bleu qui fait vibrer le reste de ma palette. Je compose toujours en lien avec mes souvenirs d'impressions de voyage, des vues de nature, de paysage.
Mon thème des « Heures bleues ».
L'heure bleue est un temps incertain où le ciel prend cette teinte bleue si particulière, c'est le moment où tout devient plus contrasté, durant quelques minutes. Ces moments de crépuscule sont comme la compréhension de l'instant présent, fugitif et universel.
Au cours de mes déplacements, mes voyages, je collectionne des paysages, en photos et films. Je les retransmets après par la peinture. Les souvenirs, les impressions de lumière dans l'obscurité, ces heures bleues sont alors retransmis, expérimentés par différents médiums : peintures, collages, vidéos, gravures, tout est intimement lié. J'explore de nombreux supports et médiums.
Les passages de couleurs, les traces de graphisme les glacis forment un « paysage » abstrait. C'est cet espace temps qui crée l'espace visible, ces « mémoires peintes », imprégnées du sens premier et aussi de l'intime.

Vernissage le vendredi 10 juillet à 18h30
Du 10 juillet au 23 août 2015 - du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30

du 24 avril au 25 mai 2015

Anne Lauzent-Maurel

peintre

Anne Lauzent-Maurel-1Les peintures présentées cette année à la Maison de la Tour par Anne Lauzent-Maurel relèvent d’un choix minutieux opéré pour ce lieu d’exception dans la production des quelques dix dernières années du peintre.
En effet depuis une large décennie la réalisation des oeuvres suit un cheminement de pensée régulier et pérenne autour d’un thème central abordé de manière chaque fois un peu différente : une exploration permanente de la féminité fondée, selon une logique courante, sur sa présence charnelle.
La recherche plastique s’est ainsi fixée sur le corps, organique, et son mouvement interne : ses flux, ses fluides, ses sécrétions multiples, ses humeurs et ses formes.
Plus précisément que la reproduction (la représentation) des corps, et plus largement, il s’agit aussi d’évoquer ici la “condition féminine”, un autre éclairage, plus politique, de l’oeuvre.
La peinture est réalisée sur des panneaux de bois de dimensions variables, enduits à la colle de peau, puis peints à l’huile, élaborés très lentement, d’une manière classique. Le travail s’effectue toujours par séries (annuelle, ou se poursuivant sur 2 ou 3 années) ; ces séries s’enchaînent et découlent très naturellement les unes des autres.
Anne Lauzent-Maurel-2Ainsi des “Sphères vives” (débutées vers 2002-2003) aux “Canopes” (2007/2010), puis aux “Nids” (2012/2013), et enfin très récemment aux “Grottes” (toujours en cours), chaque série met en oeuvre dans son évolution progressive vers l’organique l’idée complexe de germination, d’éclosion, d’épanouissement dans le sexuel, enfin de disparition.
On pourrait parler, simplement, de passage par le vivant, dont le premier support, la première condition est cette présence du corps au monde.
Au sein de l’ensemble que constitue la série, chaque tableau, dont le sujet investit ces formes symboliques du corps ou de “l’idée”de corps (ainsi des Canopes, urnes funéraires de l’Egypte ancienne qui contenaient les viscères du défunt, exemplaires ici, comme cohabitation métaphorique du corps et contenu organique réel), souligne aussi l’idée d’un arrière fond caché, dépositaire d’une entité précieuse qui serait à la fois ce que le féminin recèle comme on l’a vu de potentialité de fécondation, de germination, qui est son propre (organique), et le lieu d’un pur désir charnel, une force vitale, irrépressible, brisant toute contrainte et toute coercition.
Le sujet/corps lui-même semble alors participer de cette violence constitutive, surprenante, et le vase canopé (ou le nid, ou la grotte), conçu comme un écrin, utérin, protecteur, unité close au sein de l’hostilité du monde, est visiblement lui-même oujours débordé, submergé par la volonté exigeante de ce «grouillement» de désir qui le fait voler en éclat. Mort et vie sont alors étroitement liées.
Ce surgissement de la vie, inséparable de sa propre finitude, questionne toujours la permanence et le mystère de la matière, qu’elle soit chair, ou peinture comme ici.
Car il s’agit bien de cela avant tout : chacun des thèmes explorés devient l’expression même de la peinture, elle qui suppose toujours dans sa mise en oeuvre un arrière fond, un sens second (sa part la plus intime), qu’elle tente d’amener au jour.

Patricia Fetet-Meffre

céramiste

Patricia Fetet-Meffre-2Un travail protéiforme Patricia Meffre présente des sculptures en céramique d’aspect monochrome (noires ou blanches ou grises et ses différentes nuances). Ces pièces sont ainsi destinées à jouer subtilement avec la lumière en fonction des traitements de leurs surfaces (aspérités, protubérances, irrégularités diverses, brillances, matités, etc…) qui sont obtenus par différents modes de polissage, de lustrage.
Leurs parois ont reçu diverses interventions (creusements, perforations, évidements, ajouts de matières).
Cette artiste cherche à construire des objets dont les formes, les volumes, voudraient s’inspirer des modes de transformation, de reproduction, de multiplication, de prolifération, que l’on retrouve dans les règnes, minéral, végétal, animal. Par exemple, les galets réalisés entre 2012 et 2014, ont été perforés de multiples trous dans lesquels l’ajout d’une substance phosphorescente les rend visibles la nuit. Ils gagnent ainsi deux vies :
- une vie diurne (qui les rapproche des galets de rivière ou bien des éponges) ;
- une vie nocturne (où mille points lumineux les rend semblables à de petites constellations).
Patricia Fetet-Meffre-3Dans la même perspective, Patricia Meffre aime réaliser des séries d’objets, comme ces formes de tests d’oursins de différentes dimensions disposés sur des graviers noirs, ou bien aussi des “cornes” de terre qui se tiennent immobilisées dans une torsion amorçant la forme de la spirale. D’autres nouvelles formes sont récemment apparues, inspirées d’idées plus abstraites : ainsi, une série des petits gobelets funéraires (2013), ou bien encore des sphères ouvertes, organiques, livrant leur intérieur fascinant (2014), des oscilla suspendus dans un ciel lumineux, et enfin une installation de vulves en terre blanches reposant sur un lit de bris de verre, symbolisant les violences faites aux femmes de par le monde.
Site de l’artiste : www.patriciameffre.com

Vernissage le vendredi 24 avril à 18h30 - Décrochage le samedi 23 mai à 18h30
Du 24 avril au 25 mai 2015 - du mercredi au dimanche de 14h à 18h
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